Dans un « processus d’un risque non prévisible santé » l’analyse et la prévision sont essentielles

Dans le précédant blog étaient indiqués les éléments de la gestion de projets à utiliser pour un processus non prévisible santé (leur non respect qui à proviqués la cartrasrophe de coronavirus).

D’autres dispositions devront être prises pour prendre en compte : l’évolution du coronavirus, et tenir compte des ressources limitées à mettre en œuvre et leur lissage sur les différentes sites.

Une analyse préalable doit déterminer le cadre, l’enveloppe du déroulement d’un risque non prévisible dans le domaine de la santé pour arrêter toutes les procédures nécessaires d’y faire face et ceci en fonction des connaissances du moment.

Dans un premier temps le responsable (désigné en fonction de ses compétences au niveau du management de projets et des hommes) consultera lors d’analyses successives les scientifiques et les spécialistes directement concernés par le risque pour obtenir un premier cadre du déroulement du risque.

Ensuite, avec les autres scientifiques de disciplines complémentaires, cette première analyse du déroulement prévisionnel du risque sera affinée. Les prescriptions et les procédures à utiliser seront codifiées, et acceptées par tous ces intervenants, elles deviendront exécutoires dès l’apparition du virus.

En parallèle il sera important de voir les équipements nécessaires à mettre en œuvre, le coût et ceci pour différents niveaux de besoins. L’équilibre entre une sécurité maximum à préserver et le coût de ces équipements sera la difficulté majeure à prendre en compte.

Il doit en résulter qu’à partir des connaissances actuelles du risque, après avoir reçu les accords de tous les participants un déroulement prévisionnel sera arrêté et obtenu. Le but est que les utilisateurs de chacun des sites puissent le mettre en œuvre dès l’apparition du risque.

Il est indispensable que l’analyse soit revue périodiquement pour modifier les hypothèses en fonction des nouvelles connaissances. En fonction du risque plusieurs démarches similaires peuvent être envisagées ; celle retenue, devra être choisie au moment de la constatation de ce risque.

Les prescriptions et les procédures qui ont été établies par les scientifiques et les spécialistes et intervenants concernés devront être mises en œuvre immédiatement dès l’apparition du risque sur les sites.

Une base de données actualisée devra contenir toutes les informations correspondantes qui ont été mémorisées à la suite des discussions échangées lors des réunions d’analyse et des informations concernant le risque santé. Elle sera la mémoire à consulter.

Une cellule centralisatrice, devra être créée, informera chacun des sites des besoins en personnel et en moyens qu’elle doit prévoir, elle en assurera le lissage de ceux-ci entre les sites. Elle devra assurer le suivi de l’évolution du risque et prendre les dispositions correctives correspondantes. Elle informera les sites pour leur permettre dès l’apparition du risque de commencer leur intervention.

Notas très importantes

L’erreur à ne pas faire : serait de remettre en question le déroulement du risque établi par les scientifiques et les spécialistes, et d’attendre une décision qui pourrait provoquer des retards avec des conséquences très importantes et incontrôlables.
Dans le cas d’un risque non prévisible santé une décision à froid est préférable à une décision de l’instant à chaud.

On doit faire une distinction entre la valeur des équipements et celle des fournitures. Etant donné que les conséquences du décalage des tâches sont indépendantes de leur valeurs, par sécurité, les dispositions devront être prises pour que les approvisionnements soient disponibles à tout moment.

Mais il restera le choix cornélien qui peut se poser lors d’un processus « risque non prévisible santé» : l’importance des équipements onéreux à prévoir.

Privilégier les membres les plus fragiles de la société actuelle ou les intérêts des générations futures.

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Dans les blogs à venir il sera question des procédures de la maîtrise de la notion temps en particulier avec l’utilisation de la gestion de projets.